Raison de plus pour envisager sérieusement de fixer les députés à Strasbourg, loin des lobbies de Bruxelles et économiser les coûts du nomadisme en même temps que les émissions de CO2.
Surtout, symboliquement, s'il y a une population à même de comprendre la nécessité de l'Europe, c'est bien les alsaciens, comme j'en ai déjà parlé dans un article précédent à propos des "malgré nous". Du reste à Colmar le 8 mai dernier, un ancien combattant expliquait aux journalistes qu'il ne fallait pas avoir peur de l'Europe, c'est ce qui nous sauve.
Cela dit il ne faudrait pas que les lobbies empêchent les députés européens de faire leur travail de contrôle.
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