mercredi 15 décembre 2010

Les hébergeurs français censurent!

Voici le texte de fin de publication de blog qui tombe systématiquement en défaut de publication:

"Je vous suggère d'aller voir mon blog « dominiquemichelin2010 » sur blogspot.com.
Les mêmes articles y ont été publiés (photos en plus) et vous verrez qu'il y a une énorme différence surtout ces derniers temps. La liberté d'expression est mise à mal sur par les hébergeurs français alors qu'il n'y a pas matière à censurer, et j'en tire les conséquences.

Sur facebook il reste peu de disponibilité avant d'arriver à saturation, mais vous pouvez vous abonner sur twitter ou directement sur le blog principal.

Finissez bien l'année et passez de bonnes fêtes.

Dominique MICHELIN (Inclassable)"

Après over-blog, hauteetfort !

Bonjour la liberté d'expression, surtout qu'il n'y avait pas de quoi. 
Autrement dit on est déjà dans la campagne des présidentielles jusqu'au cou, sauf les français eux-mêmes pour qui ce n'est pas le problème du moment!

lundi 13 décembre 2010

Cancun mieux que Copenhague: question d'ambiance!

Souvenez-vous des mauvais souvenirs de Copenhague, des réunions aux pieds levés dans des salles froides, de l'échec final. 
En fait tout le monde sait qu'on obtient de bien meilleurs résultats quand les gens peuvent discuter dans un environnement tempéré où il n'y a pas de gêne physique sur les organismes, comme le froid ou la transpiration pour cause de chaleur excessive. 
L'ambiance et le climat du lieu ont un réel impact sur les résultats de ces sommets mondiaux et donc les organisateurs seraient bien inspirés à l'avenir de tenir compte de ce facteur important, peut-être pas seulement pour les questions de changement climatique d'ailleurs!

Newsweek explique comment accéder à WikiLeaks.

Franchement ce n'est pas les fuites organisées qui nous ont appris qu'on a un Président susceptible, agité et sans grands réels pouvoirs. 
L'article de Newsweek de cette semaine explique non seulement comment accéder aux documents qui font tant jaser, mais aussi que ces câbles diplomatiques montrent surtout que les diplomates font bien leurs jobs. Parfois aussi que les choses ne sont pas aussi négatives qu'elles le paraissent. 
Bon à l'avenir les paroles seront sans doute plus « polissées » et sans doute plus précautionneusement reproduite par écrit. 

Au final l'épisode montre surtout que le facteur humain est plus important qu'on ne le croit et que la confidentialité et les secrets ne sont pas si secrets que cela. Autrement dit il y a des progrès à faire question précautions. 

D'expérience, jusqu'à présent ce sont les gens qui ont le plus souvent le mot « transparence » à la bouche qui le sont le moins parmi les gens de pouvoirs. C'est surtout cela que les fuites peuvent révéler. 

samedi 4 décembre 2010

De la vie extra-terrestre parmi nous: révélations!

Une scientifique de la NASA vient d'expliquer sa découverte d'une forme de vie d'une bactérie qui s'est adaptée à son milieu hostile en utilisant un poison puissant comme l'arsenic pour sa respiration. Les perspectives sur les formes de vie dans l'Univers en sont bouleversées. 

En réalité beaucoup d'autres possibilités existent mais les scientifiques ne peuvent les révéler sans danger et pour ne pas subir des pressions. 
Je vais parler ici de faits qui datent d'une trentaine d'années et des recherches d'un scientifique de renommée mondiale aujourd'hui disparu. Il faut comprendre que tout ne peut pas être dit sans mettre en danger des personnes. Par contre dans le même temps il faut que les gens soient informés de possibilités d'évolutions surprenantes pour les non avertis et éviter des réactions de panique. 

D'abord il faut savoir que le seul verrou au fait d'admettre la possibilité d'une vie extra-terrestre est la théorie de la relativité d' EINSTEIN disant qu'il n'est pas possible de dépasser la vitesse de la lumière. Si cette théorie admise tombe, c'est la porte ouverte à d'autres recherches et il devient admissible d'explorer bien au-delà de ce qui est fait actuellement. 

Prenons les témoignages UFO (OVNI), un seul cas a jusque là fait l'objet d'une étude scientifique avec analyses de prélèvements sur un lieu d'atterrissage, c'était à Trans-en-Provence, par le bio-mathématicien toxicologue Michel BOUNIAS. 
J'avais besoin de le rencontrer car il me semblait avoir localisé un autre lieu d'atterrissage. Le journaliste Jean-Claude BOURRET m'avait dit que le rencontrer était quasi impossible car il refusait tout interview. Finalement c'est en demandant à quelqu'un de l'INRA d'Avignon de lui laisser mes coordonnées dans son casier que le contact a pu être établi. Nous sommes ensuite restés régulièrement en contact pendant les années qui ont suivies, jusqu'à sa disparition. Comme l'astrophysicien Jean-Pierre PETIT, j'estime qu'il est regrettable que cela se soit passé dans l'indifférence la plus totale alors que ses travaux ont marqués un tournant important.

Ce que je peux dire sans conséquence, c'est que le Professeur BOUNIAS m'avait demandé de faire quelque chose de particulier pour savoir si cela pouvait être un autre lieu d'atterrissage, et que les conclusions ont été positives, mais l'expérience va bien au-delà de la simple identification d'un lieu d'atterrissage. 
Des faits tendent à prouver que certains humains seraient des mutants. Les choses se passent comme si des pions étaient mis en place à des postes de plus en plus stratégiques au niveau des décideurs. 
De ce que je sais, c'est que l'eau semble avoir une l'importance particulière.

On constate qu'il y a de moins en moins de témoignages sur des OVNI, et il est permis de penser qu'ils ont progressé et ont réussi à devenir invisibles. J'ai eu une expérience avec témoin qui tend à le confirmer. Donc il ne faut plus s'attendre à avoir de nouveaux témoignages, sauf si les visiteurs invisibles décident de se montrer. 

La première fois que je me suis intéressée au sujet, c'était par le lecture du « blue book » américain, trouvé dans la bibliothèques des toilettes de personnes chez qui j'étais invitée. Intriguée, je me l'étais fait prêté et j'ai compris que le sujet étais tabou, l'hôte avait fait son service militaire sur une base aérienne importante, visiblement il avait été témoin de quelque chose mais n'a pas voulu même l'admettre. Mieux, quelques années plus tard je l'ai contacté pour essayer d'avoir un exemplaire du bouquin et il est allé jusqu'à nier son existence. 
Dans ce livre il y a beaucoup de choses à écarter, mais il y a aussi des faits dont la véracité avait été prouvé par l'autopsie des témoins décédés des suites des conséquences liées aux faits relatés dans leurs témoignages. 
Quelques années après, au détour d'une conversation privée avec un élu, je lance une boutade sur le phénomène extra-terrestre et à ma grande stupéfaction il me répond qu'il est un mutant. Son regard était sérieux et il a aussitôt ajouté qu'il m'en avait trop dit. Il s'est fermé comme une huître. Mais j'ai remarqué chez lui un don particulier: en serrant la main d'une personne il était capable de savoir et cerner beaucoup de choses sur elle, sans même l'avoir rencontrée une seule fois auparavant. 
À partir de cela j'ai déterminé dans quel secteur il pouvait y avoir eu atterrissage et j'ai fini par trouver. 

Un mois de janvier alors que les conditions météorologiques étaient très difficiles, j'avais été à une conférence sur le sujet présentée par Jimmy GUIEU, et à la fin au moment de la dispersion j'ai demandé: qu'est ce qu'on entend par « mutant ». Je suis partie sans laisser mes coordonnées à personne et je ne connaissais personne dans l'assemblée. Dans les jours qui ont suivis j'ai été contactée par deux personnes. J'avais été retrouvée grâce à l'immatriculation de mon véhicule. 
Une personne appartenait à un groupe associatif, l'autre m'a semblé plus nébuleuse et a surgit plusieurs fois de nulle part sans crié gare. Il avait semble-t-il aussi gravité autour d'affaires pas très claires comme le meurtre du garde du corps d'une importante vedette qui avait fait les gros titre à une époque. J'ai fini par lui raconter un gros bobard en disant que je ne savait rien, pour qu'il me lâche. 
Le groupe associatif était plus intéressant. On a partagé des connaissances. Ainsi ils s'étaient trouvés lors de soirées d'observations, en même temps que des gendarmes, ils y avaient vu une personne en civil et découvert que c'était un responsable de l'aviation civile. 
Parmi leurs hypothèses, il était question de l'existence probable de bases de dématérialisation. 
L'expérience vécue une nuit avec un témoin, et qu'on n'est pas près d'oublier, tendrait à le confirmer.

Depuis les USA ont fabriqué l'avion furtif, mais à l'époque si on en avait parlé, on nous aurait discrédités. 

Je voudrais rendre hommage au Professeur Michel BOUNIAS, en parlant de deux sujets que nous avions abordés dans ses dernières années, et pour le moins surprenants. 
Alors que je l'avais vu expliquer le phénomène du big-bang quelques années auparavant, il en était arrivé à la conclusion que cette théorie n'était pas exacte. Le big-bang n'aurait pas existé. 
Enfin, il avait travaillé sur un sujet pour le moins surprenant, à savoir prouver par les mathématiques l'existence de Dieu. 
Il avait découvert que d'autres personnes dans le monde travaillaient en parallèle sur les mêmes sujets et je sais qu'il passait ses vacances à travailler sur ces sujets dans les environs de New-York. 

Ce que la NASA vient de prouver aujourd'hui, c'est avant tout qu'il ne faut pas se mettre des oeillères et que beaucoup de choses que l'on pose comme impossible d'emblée, peuvent fausser nos appréciations de la vérité et du possible. 
Gardons l'esprit ouvert. 

mercredi 1 décembre 2010

It's not « all about productivity », ce n'est pas qu'une question de productivité.

Newsweek du 29 novembre vient de publier en page 24 un article de Charles ROXBURGH, directeur de the McKinsey Global Institute, basé à Londres. Selon lui, la situation économique européenne doit sa faiblesse, laquelle va s'aggraver, à un défaut de productivité. 
Il est important de souligner que c'est un point de vue, vu de Londres, et qui plus est d'un aspect purement économique de rentabilité, autrement dit on peut regretter le défaut de perspective globale et l'orientation assez égoïste de la façon de voir les choses.
Nous ne sommes pas chacun dans des bulles de protection, mais à la manière des poupées russes, notre première protection est la cellule familiale, et successivement la famille, la localité (étant donné l'esprit de clocher qui subsiste encore dans certains cas), la région, le pays et aussi la planète Terre ainsi que peut-être notre Univers que nous connaissons encore assez mal.
Ce qu'on peut reprocher aux économistes est de se concentrer sur des vues à très court terme (quelques dizaines d'années et parfois moins), le futur proche à l'échelle de l'Univers, et c'est un peu « après moi le déluge » dans leur façon d'appréhender les choses. Ils réagissent au coup par coup, en fonction du moment, des événements récents de l'actualité et des émotions médiatiquement suscitées. 

Or c'est un fait scientifique inéluctable: notre planète a une durée de vie qui a sa limite, même si à l'échelle d'une vie humaine ce n'est pas pour demain, à l'échelle universelle rien n'est moins sûr et comme on n'a pas encore de plan B, avec une solution de repli, ce qu'on risque est ni plus ni moins que la disparition de l'humanité. Mais avant cela les dernières générations vont souffrir faute d'un environnement vivable. 
Les économistes s'acharnent à chercher des modèles de profits qui ne bénéficient qu'à une petite poignée de personnes qui concentre les pouvoirs en tous genres, et pour servir leurs causes on verse des allocations familiales alors que ce n'est pas la natalité qu'il faudrait encourager, mais la régulation des naissances pour enrayer la surpopulation mondiale. Ils ont créés des bourses d'échange de droits à polluer, ce qui revient quoi qu'on en dise au final à avoir créé un droit à polluer ce qui n'est pas franchement favorable à la préservation des conditions de vie saine pour les êtres vivants. Pour la plupart ils en sont encore à considérer l'écologie comme une entrave aux profits, alors qu'il faudrait l'envisager comme un marché bénéfique pour baisser aussi les dépenses de santé, au lieu de financer sans fond des secteurs qui aggravent la situation à longue échéance. Enfin, l'exploration de l'Univers est pratiquement en panne, alors qu'elle est le seul moyen de trouver une solution à très long terme, même si on sait déjà que près de 98% des terriens disparaîtront quoi qu'on fasse au stade des connaissances que nous du problème. 
Néanmoins tendre vers la limitation de la population mondiale et l'assainissement de la Terre par l'écologie sont les seuls réels moyens dont nous disposons pour reculer l'échéance et les désagréments d'un environnement malsain, voire entre temps de trouver un plan B et une Terre-Bis.

En attendant, les économistes et Hommes de pouvoirs devraient abandonner leurs positions qui consiste uniquement à défendre leurs prés-carrés. Malheureusement tous les jours ils nous donnent des exemples contraires, en Europe comme au G20.

No, it's not all about productivity. Economists should focus much more on what we need in the long term and not about short term profits for a little number of people. We saw each country focus on their own interests every days every where like at the G20. This is a nonsense for humanity. Shortly they should help to find ways to limit the expansion of births and keep the environnement as clean as possible to reduce health care spending, or at least not to increase it. Finally, they should also find ways to pursuit search on the Univers, involving all countries, may be by the way of U.N. because it concern every kind of people.