mercredi 17 février 2010

L'imposteur climatique a encore frappé.

Le « mammouth » n'en fini pas de vouloir écraser les climatologues. 

Le climat n'est pourtant pas sa spécialité, lui étant géophysicien. Mais non, en quête de renouer avec une carrière politique Claude ALLÈGRE n'en fini pas avec son intox.  

Hier soir dans le Grand Journal de canal+, face à Dominique VOYNET il a été moins virulent. L'ex-Ministre de l'écologie avait fait partie du même gouvernement que lui et il lui a été plus facile de rectifier certaines de ses affirmations erronées. 

La plus grosse est encore de nier l'existence de « réfugiés climatiques », alors même qu'il y a des gens dans cette situation dans le monde, peu importe la cause initiale de leur situation. 


Jean JOUZEL, climatologue lui, a admis une erreur de frappe dans le rapport du GIEC où 2035 est en réalité 2350. À l'échelle de l'univers c'est quand même demain, même si ce n'est pas nous même qui risquons de le vivre. En tous cas ce n'est pas une raison suffisante pour rejeter en bloc tout le travail du GIEC. 

Il y a quand même quelques points de conclusion sur lesquels ils sont tous d'accord et sur lequel on comprend mal l'inaction. L'expansion démographique mondiale est un gros problème pour l'avenir et il serait temps de prendre des dispositions pour la réguler en douceur.


Internet permet d'échanger des avis sur la question inter-populations du monde.

À l'occasion de la vaccination contre la grippe AH1N1 le sujet a été abordé en « chat ». Les nano-technologies ouvrent des possibilités qui font que les gens vont de plus en plus se méfier des vaccinations collectives. Avec l'électronique, des fabriquants ont pu programmer la fin de vie d'ordinateurs pour s'assurer le renouvellement de la clientèle. Les gens craignent la même chose pour l'être humain. 

Avec des puces injectées, plus de problèmes de retraites, de famine, de conflit ou d'opposition. Toutes les découvertes ont leurs versions néfastes, et celle-ci pourrait être particulièrement sournoise et beaucoup plus puissante qu'il n'y paraît. 

Comme toujours, cela dépend du degré de moralité et d'humanité de ceux qui peuvent utiliser ces produits de la science. 

Le problème c'est qu'il y a toujours quelques fous quelque part. 


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