Il faut des années avant que les vérités se dévoilent, depuis l'expansion d'internet on gagne beaucoup de temps.
« Direct 8 » vient de diffuser « l'heure de vérité sur Challenger » une analyse de cet accident où les causes déjà connues, notamment portant sur les joints toriques et les conditions météorologiques avec des températures trop basses qui les ont rendus inopérants, mais aussi sur le fonctionnement des prises de décisions dans lesquelles les intérêts économiques ont joué un rôle de lobby important.
Plus intéressante est la révélation du fait que les passagers de la navette spatiale n'étaient pas morts sur le coup comme prétendu, et que trois au moins d'entre eux étaient vivants lors de l'amerrissage de la capsule et avaient ouvert leurs casques.
En 1992 j'avais eu l'occasion de voir un reportage à la télévision où des employés de la NASA à la retraite témoignaient déjà de cela anonymement, précisant que les autorités n'avaient pas voulu avouer qu'en fait ils étaient morts asphyxiés, la cause en était qu'il n'avait pas été possible aux victimes d'ouvrir l'habitacle après l'amerrissage, l'oxygène étant épuisé.
Pour accréditer la version officielle de l'époque, les corps avaient été mis dans un camion et un accident provoqué avait permis de ne pas les rendre à leurs familles intacts.
Malgré ces témoignages les américains, y compris le chef de l'entreprise sous-traitante de la NASA dans laquelle je faisais un stage, ne voulaient pas y croire à l'époque.
À tous les niveaux, il serait temps de réaliser que les mensonges ne font que fausser et aggraver les choses sur le long terme. Surtout, ils ne permettent pas de prendre les bonnes décisions pour le futur. Ressasser un événement négatif qui vient de se produire ne fait que parasiter et empêcher d'appréhender clairement les décisions nécessaires pour comprendre les erreurs du passé et en tirer le meilleur parti.
Les navettes spatiales font partie du passé maintenant, mais une conquête spatiale par la planète Terre toute entière est nécessaire pour le futur que nous même ne connaîtrons pas, mais nos descendants, faute de quoi y ne pourra y avoir qu'extinction de l'humanité avec la disparition de notre planète.
Le problème se posera bien avant l'échéance, vu l'incapacité ou la lenteur de l'Homme à comprendre qu'il faut arrêter de se multiplier déraisonnablement, de courir après des artifices et de ne pas voir plus loin que le bout de son nez.
Dans tout cela l'écologie n'est qu'un moyen de reculer l'échéance pour donner plus de temps à la découverte d'une solution, mais ce n'est pas une solution en soi.
L'ONU devrait prendre le problème à bras le corps pour articuler les recherches en l'espèce des scientifiques du monde entier et faire en sorte que les découvertes profitent aux terriens sans distinction.
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