samedi 4 décembre 2010

De la vie extra-terrestre parmi nous: révélations!

Une scientifique de la NASA vient d'expliquer sa découverte d'une forme de vie d'une bactérie qui s'est adaptée à son milieu hostile en utilisant un poison puissant comme l'arsenic pour sa respiration. Les perspectives sur les formes de vie dans l'Univers en sont bouleversées. 

En réalité beaucoup d'autres possibilités existent mais les scientifiques ne peuvent les révéler sans danger et pour ne pas subir des pressions. 
Je vais parler ici de faits qui datent d'une trentaine d'années et des recherches d'un scientifique de renommée mondiale aujourd'hui disparu. Il faut comprendre que tout ne peut pas être dit sans mettre en danger des personnes. Par contre dans le même temps il faut que les gens soient informés de possibilités d'évolutions surprenantes pour les non avertis et éviter des réactions de panique. 

D'abord il faut savoir que le seul verrou au fait d'admettre la possibilité d'une vie extra-terrestre est la théorie de la relativité d' EINSTEIN disant qu'il n'est pas possible de dépasser la vitesse de la lumière. Si cette théorie admise tombe, c'est la porte ouverte à d'autres recherches et il devient admissible d'explorer bien au-delà de ce qui est fait actuellement. 

Prenons les témoignages UFO (OVNI), un seul cas a jusque là fait l'objet d'une étude scientifique avec analyses de prélèvements sur un lieu d'atterrissage, c'était à Trans-en-Provence, par le bio-mathématicien toxicologue Michel BOUNIAS. 
J'avais besoin de le rencontrer car il me semblait avoir localisé un autre lieu d'atterrissage. Le journaliste Jean-Claude BOURRET m'avait dit que le rencontrer était quasi impossible car il refusait tout interview. Finalement c'est en demandant à quelqu'un de l'INRA d'Avignon de lui laisser mes coordonnées dans son casier que le contact a pu être établi. Nous sommes ensuite restés régulièrement en contact pendant les années qui ont suivies, jusqu'à sa disparition. Comme l'astrophysicien Jean-Pierre PETIT, j'estime qu'il est regrettable que cela se soit passé dans l'indifférence la plus totale alors que ses travaux ont marqués un tournant important.

Ce que je peux dire sans conséquence, c'est que le Professeur BOUNIAS m'avait demandé de faire quelque chose de particulier pour savoir si cela pouvait être un autre lieu d'atterrissage, et que les conclusions ont été positives, mais l'expérience va bien au-delà de la simple identification d'un lieu d'atterrissage. 
Des faits tendent à prouver que certains humains seraient des mutants. Les choses se passent comme si des pions étaient mis en place à des postes de plus en plus stratégiques au niveau des décideurs. 
De ce que je sais, c'est que l'eau semble avoir une l'importance particulière.

On constate qu'il y a de moins en moins de témoignages sur des OVNI, et il est permis de penser qu'ils ont progressé et ont réussi à devenir invisibles. J'ai eu une expérience avec témoin qui tend à le confirmer. Donc il ne faut plus s'attendre à avoir de nouveaux témoignages, sauf si les visiteurs invisibles décident de se montrer. 

La première fois que je me suis intéressée au sujet, c'était par le lecture du « blue book » américain, trouvé dans la bibliothèques des toilettes de personnes chez qui j'étais invitée. Intriguée, je me l'étais fait prêté et j'ai compris que le sujet étais tabou, l'hôte avait fait son service militaire sur une base aérienne importante, visiblement il avait été témoin de quelque chose mais n'a pas voulu même l'admettre. Mieux, quelques années plus tard je l'ai contacté pour essayer d'avoir un exemplaire du bouquin et il est allé jusqu'à nier son existence. 
Dans ce livre il y a beaucoup de choses à écarter, mais il y a aussi des faits dont la véracité avait été prouvé par l'autopsie des témoins décédés des suites des conséquences liées aux faits relatés dans leurs témoignages. 
Quelques années après, au détour d'une conversation privée avec un élu, je lance une boutade sur le phénomène extra-terrestre et à ma grande stupéfaction il me répond qu'il est un mutant. Son regard était sérieux et il a aussitôt ajouté qu'il m'en avait trop dit. Il s'est fermé comme une huître. Mais j'ai remarqué chez lui un don particulier: en serrant la main d'une personne il était capable de savoir et cerner beaucoup de choses sur elle, sans même l'avoir rencontrée une seule fois auparavant. 
À partir de cela j'ai déterminé dans quel secteur il pouvait y avoir eu atterrissage et j'ai fini par trouver. 

Un mois de janvier alors que les conditions météorologiques étaient très difficiles, j'avais été à une conférence sur le sujet présentée par Jimmy GUIEU, et à la fin au moment de la dispersion j'ai demandé: qu'est ce qu'on entend par « mutant ». Je suis partie sans laisser mes coordonnées à personne et je ne connaissais personne dans l'assemblée. Dans les jours qui ont suivis j'ai été contactée par deux personnes. J'avais été retrouvée grâce à l'immatriculation de mon véhicule. 
Une personne appartenait à un groupe associatif, l'autre m'a semblé plus nébuleuse et a surgit plusieurs fois de nulle part sans crié gare. Il avait semble-t-il aussi gravité autour d'affaires pas très claires comme le meurtre du garde du corps d'une importante vedette qui avait fait les gros titre à une époque. J'ai fini par lui raconter un gros bobard en disant que je ne savait rien, pour qu'il me lâche. 
Le groupe associatif était plus intéressant. On a partagé des connaissances. Ainsi ils s'étaient trouvés lors de soirées d'observations, en même temps que des gendarmes, ils y avaient vu une personne en civil et découvert que c'était un responsable de l'aviation civile. 
Parmi leurs hypothèses, il était question de l'existence probable de bases de dématérialisation. 
L'expérience vécue une nuit avec un témoin, et qu'on n'est pas près d'oublier, tendrait à le confirmer.

Depuis les USA ont fabriqué l'avion furtif, mais à l'époque si on en avait parlé, on nous aurait discrédités. 

Je voudrais rendre hommage au Professeur Michel BOUNIAS, en parlant de deux sujets que nous avions abordés dans ses dernières années, et pour le moins surprenants. 
Alors que je l'avais vu expliquer le phénomène du big-bang quelques années auparavant, il en était arrivé à la conclusion que cette théorie n'était pas exacte. Le big-bang n'aurait pas existé. 
Enfin, il avait travaillé sur un sujet pour le moins surprenant, à savoir prouver par les mathématiques l'existence de Dieu. 
Il avait découvert que d'autres personnes dans le monde travaillaient en parallèle sur les mêmes sujets et je sais qu'il passait ses vacances à travailler sur ces sujets dans les environs de New-York. 

Ce que la NASA vient de prouver aujourd'hui, c'est avant tout qu'il ne faut pas se mettre des oeillères et que beaucoup de choses que l'on pose comme impossible d'emblée, peuvent fausser nos appréciations de la vérité et du possible. 
Gardons l'esprit ouvert. 

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